Parce que j'ai écouté cette chanson en voiture avec mon père. Et alors que je l'ai entendu des centaines de fois, cette fois-ci j'ai tout de suite pensé à Ueda et Ryo. Donc remerciez mon esprit yaoiste ouvert à toute possibilité (et celle qui a dit "Surtout ta perversité", ben... Elle a raison)
~~~
Résumé : Nishikido est resté à la Jimusho, profitant du départ de ses camarades pour se détendre. Mais il y a ce refrain en français qui le rend fou...
Pour un flirt
Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps
Nishikido Ryo frissonna en entendant les paroles briser le silence. Après une journée particulièrement éreintante, il aimait prendre son temps sous la douche, laissant l'eau brûlante dénouer ses muscles, nettoyant la sueur due à son entraînement. Le reste des Kanjani était déjà reparti, ayant tous quelque chose à faire.
Ryo adorait rester seul le soir. Il pouvait profiter des douches aussi longtemps qu'il le voulait sans être bousculer, et il en profitait pour se relaxer. Evacuer la tension de son emploi du temps toujours aussi chargé alors qu'il n'avait plus qu'un groupe, évacuer la tristesse qu'il ressentait quand les désormais derniers membres de NewS le snobaient, évacuer ses regrets.
Mais là, la voix de Ueda, légèrement rauque d'une journée passée à chanter, le perturbait. Encore une fois, il entendait cette chanson dont il ne comprenait pas les paroles, son meilleur ennemi venant le troubler.
La "sérénade", comme l'appelait Pi en souriant, avait commencé trois semaines plus tôt, au Countdown du nouvel an. Ueda s'était moqué de sa tenue, ce qui ne l'avait pas étonné – leur petite guerre durait depuis des années, sans qu'ils ne se détestent vraiment, mais ni lui, ni le KAT-TUN n'aurait manqué une occasion de se moquer de l'autre.
Petit à petit, Uepopu avait commencé à siffloter ce refrain entêtant dès qu'ils se croisaient. Ryo ne connaissait pas la chanson, et il s'était casser la tête pendant des jours, appelant même les Kanjani à l'aide, avant de renoncer.
Et puis, une dizaine de jours plus tôt, il avait commencé à entendre seulement les paroles, certainement du français, sans accompagnement. Un a capella sublime, que la voix de Ueda rendait légèrement sensuel. Rien que de percevoir les premières notes le rendait fou.
Doucement, il appuya son front sur le carrelage tiède, essayant de penser à autre chose. Mission impossible tant Ueda le faisait frémir depuis tant de mois. Il avait eu le malheur de tomber sur un de ses clips en zappant sur les chaînes musicales, et il était resté bouche bée devant le torse imberbe et sculpté juste ce qu'il aimait.
La voix si douce et profonde l'avait accompagné des jours durant, lui faisant fredonner la mélodie dès qu'il avait un temps calme. Et les paroles crues avaient révélé en lui des fantasmes auxquels il n'avait encore jamais pensés.
Cognant de la tête contre les carreaux de céramique, il s'efforça de recadrer son esprit vers la nouvelle chanson de son groupe, et non vers Ueda. Mais la chanson continua, enchaînant sur un couplet.
Ryo adorait rester seul le soir. Il pouvait profiter des douches aussi longtemps qu'il le voulait sans être bousculer, et il en profitait pour se relaxer. Evacuer la tension de son emploi du temps toujours aussi chargé alors qu'il n'avait plus qu'un groupe, évacuer la tristesse qu'il ressentait quand les désormais derniers membres de NewS le snobaient, évacuer ses regrets.
Mais là, la voix de Ueda, légèrement rauque d'une journée passée à chanter, le perturbait. Encore une fois, il entendait cette chanson dont il ne comprenait pas les paroles, son meilleur ennemi venant le troubler.
La "sérénade", comme l'appelait Pi en souriant, avait commencé trois semaines plus tôt, au Countdown du nouvel an. Ueda s'était moqué de sa tenue, ce qui ne l'avait pas étonné – leur petite guerre durait depuis des années, sans qu'ils ne se détestent vraiment, mais ni lui, ni le KAT-TUN n'aurait manqué une occasion de se moquer de l'autre.
Petit à petit, Uepopu avait commencé à siffloter ce refrain entêtant dès qu'ils se croisaient. Ryo ne connaissait pas la chanson, et il s'était casser la tête pendant des jours, appelant même les Kanjani à l'aide, avant de renoncer.
Et puis, une dizaine de jours plus tôt, il avait commencé à entendre seulement les paroles, certainement du français, sans accompagnement. Un a capella sublime, que la voix de Ueda rendait légèrement sensuel. Rien que de percevoir les premières notes le rendait fou.
Doucement, il appuya son front sur le carrelage tiède, essayant de penser à autre chose. Mission impossible tant Ueda le faisait frémir depuis tant de mois. Il avait eu le malheur de tomber sur un de ses clips en zappant sur les chaînes musicales, et il était resté bouche bée devant le torse imberbe et sculpté juste ce qu'il aimait.
La voix si douce et profonde l'avait accompagné des jours durant, lui faisant fredonner la mélodie dès qu'il avait un temps calme. Et les paroles crues avaient révélé en lui des fantasmes auxquels il n'avait encore jamais pensés.
Cognant de la tête contre les carreaux de céramique, il s'efforça de recadrer son esprit vers la nouvelle chanson de son groupe, et non vers Ueda. Mais la chanson continua, enchaînant sur un couplet.
Pour un flirt, avec toi
Je ferai n'importe quoi
Pour un flirt, avec toi
Je serai prêt à tout
Pour un simple rendez-vous
Pour un flirt, avec toi
Nishikido serra les lèvres et sortit de la douche, attrapant la serviette qu'il avait laissée non loin. Il se sécha rapidement, puis se dirigea vers son vestiaire, où l'attendaient ses vêtements propres, qu'il enfila prestement avant de prendre son portable et sa veste de cuir.
Il sortit de la loge des Kanjani, jetant un coup d'½il autour de lui. Le couloir était vide, et la seule porte qu'il voyait de sa place était celle de la loge des Tokyo, fermée puisque les membres étaient tous occupés ailleurs.
Lentement, presque inconsciemment, il suivit le son de la voix, se laissant guider. Il marqua une pause devant la porte de la loge des KAT-TUN, avant de la pousser du bout des doigts. Il jeta un coup d'½il dans la légère ouverture qu'il avait dégagée, passant rapidement sur les vêtements jetés n'importe où et les partitions recouvrant le sol. Son regard s'arrêta sur Ueda, assis sur une table et chantonnant toujours, revenu au refrain.
Il apprécia d'un regard la musculature mise en valeur par le t-shirt moulant, les cheveux courts qui lui permettaient d'observer la douce courbure de sa nuque quand il le suivait.
Il finit sur le visage du jeune homme. Les yeux fermés, lui donnant envie d'embrasser les paupières closes, la bouche tentatrice qui se mouvait selon les paroles, la légère rougeur de ses joues.
Doucement, il poussa un peu plus la porte, s'adossant au chambranle. Il profitait des yeux fermés de son collègue pour l'admirer de tout son soûl.
Il sortit de la loge des Kanjani, jetant un coup d'½il autour de lui. Le couloir était vide, et la seule porte qu'il voyait de sa place était celle de la loge des Tokyo, fermée puisque les membres étaient tous occupés ailleurs.
Lentement, presque inconsciemment, il suivit le son de la voix, se laissant guider. Il marqua une pause devant la porte de la loge des KAT-TUN, avant de la pousser du bout des doigts. Il jeta un coup d'½il dans la légère ouverture qu'il avait dégagée, passant rapidement sur les vêtements jetés n'importe où et les partitions recouvrant le sol. Son regard s'arrêta sur Ueda, assis sur une table et chantonnant toujours, revenu au refrain.
Il apprécia d'un regard la musculature mise en valeur par le t-shirt moulant, les cheveux courts qui lui permettaient d'observer la douce courbure de sa nuque quand il le suivait.
Il finit sur le visage du jeune homme. Les yeux fermés, lui donnant envie d'embrasser les paupières closes, la bouche tentatrice qui se mouvait selon les paroles, la légère rougeur de ses joues.
Doucement, il poussa un peu plus la porte, s'adossant au chambranle. Il profitait des yeux fermés de son collègue pour l'admirer de tout son soûl.
Je pourrais tout quitter
Quitte à faire démodé
Pour un flirt, avec toi
Je pourrais me damner
Pour un seul baiser volé
Pour un flirt, avec toi
Ryo, perdu dans sa contemplation, ne vit pas que celui qu'il admirait venait d'ouvrir les yeux. Il sursauta discrètement quand son regard s'ancra dans les yeux noisette du KAT-TUN, qui rougit violemment. Silencieusement, ils se jaugèrent du regard, cherchant à découvrir ce que voulait l'autre.
Si Ryo ne voyait qu'un collègue prêt à tout pour le pousser à bout, Tatsuya se demandait ce que Nishikido observait avec tellement de ravissement – sûrement pas lui, ils s'ignoraient depuis tellement de temps que le Kanjani ne pouvait pas être intéressé par lui.
- Qu'est-ce que tu chantais ? demanda brusquement Ryo.
- Rien, rien. Juste une chanson française.
Ueda tressaillit en constant que son interlocuteur était entré dans la pièce pendant qu'il lui répondait. Il suivit le regard de Ryo, honteux du bordel kattunesque qui ornait les lieux. Il serra les lèvres, déçu que leur havre de paix soit foulé par celui qui adorait l'embêter.
Tatsuya soupira. Nishikido et lui ne se haïssaient pas vraiment, mais ils avaient toujours aimé s'envoyer des piques, dépassant plus souvent qu'ils ne le voulaient leur pensée. Fiers comme ils l'étaient tous les deux, ils avaient préféré continuer, allant chaque fois un peu plus loin, sous les yeux blasés des membres de leurs groupes.
Ils étaient allés trop loin pour faire marche arrière, mais Tatsuya ne pouvait s'empêcher d'en rêver. Il avait remarqué qu'il était attiré par Ryo depuis quelques temps déjà, mais il ne pouvait rien tenter, ne sachant rien des sentiments de son collègue.
Pour rompre avec le silence, il ferma de nouveau les yeux, enchaînant sur le couplet suivant.
Si Ryo ne voyait qu'un collègue prêt à tout pour le pousser à bout, Tatsuya se demandait ce que Nishikido observait avec tellement de ravissement – sûrement pas lui, ils s'ignoraient depuis tellement de temps que le Kanjani ne pouvait pas être intéressé par lui.
- Qu'est-ce que tu chantais ? demanda brusquement Ryo.
- Rien, rien. Juste une chanson française.
Ueda tressaillit en constant que son interlocuteur était entré dans la pièce pendant qu'il lui répondait. Il suivit le regard de Ryo, honteux du bordel kattunesque qui ornait les lieux. Il serra les lèvres, déçu que leur havre de paix soit foulé par celui qui adorait l'embêter.
Tatsuya soupira. Nishikido et lui ne se haïssaient pas vraiment, mais ils avaient toujours aimé s'envoyer des piques, dépassant plus souvent qu'ils ne le voulaient leur pensée. Fiers comme ils l'étaient tous les deux, ils avaient préféré continuer, allant chaque fois un peu plus loin, sous les yeux blasés des membres de leurs groupes.
Ils étaient allés trop loin pour faire marche arrière, mais Tatsuya ne pouvait s'empêcher d'en rêver. Il avait remarqué qu'il était attiré par Ryo depuis quelques temps déjà, mais il ne pouvait rien tenter, ne sachant rien des sentiments de son collègue.
Pour rompre avec le silence, il ferma de nouveau les yeux, enchaînant sur le couplet suivant.
Je pourrais tout quitter
Quitte à faire démodé
Pour un flirt, avec toi
Je pourrais me damner
Pour un seul baiser volé
Pour un flirt, avec toi
Ryo, qui était plongé dans ses pensées, avait tourné la tête vers Ueda. La chanson résonnait dans sa tête, sans qu'il ne comprenne les paroles. Doucement, il se rapprocha de son camarade, le bruit de ses pas étouffés par la moquette épaisse et les vêtements entassés. Il se trouva à quelques centimètres du visage du jeune homme et, mu par son instinct, posa furtivement ses lèvres sur celle de Ueda.
Il se recula brutalement, manqua de trébucher à cause d'une guitare – qu'il n'avait pas remarquée, coincée sous de vieux vêtements appartenant à Jin. Il se précipita vers l'ascenseur, qui se ferma devant Ueda, qui l'avait poursuivi.
Alors il se laissa glisser le long d'une des parois, soulagé que le KAT-TUN ne l'ait pas rattrapé et honteux de ce geste dont il avait eu tellement envie mais qu'il n'avait su réprimer.
Son portable vibra, le tirant de ses pensées. Un message. Il soupira, voyant le nom de Ueda s'afficher. Il afficha le message, pensant savoir ce qui allait s'afficher, puis il fronça les sourcils, ne s'attendant pas à ça. Un léger sourire orna ses lèvres.
Il se recula brutalement, manqua de trébucher à cause d'une guitare – qu'il n'avait pas remarquée, coincée sous de vieux vêtements appartenant à Jin. Il se précipita vers l'ascenseur, qui se ferma devant Ueda, qui l'avait poursuivi.
Alors il se laissa glisser le long d'une des parois, soulagé que le KAT-TUN ne l'ait pas rattrapé et honteux de ce geste dont il avait eu tellement envie mais qu'il n'avait su réprimer.
Son portable vibra, le tirant de ses pensées. Un message. Il soupira, voyant le nom de Ueda s'afficher. Il afficha le message, pensant savoir ce qui allait s'afficher, puis il fronça les sourcils, ne s'attendant pas à ça. Un léger sourire orna ses lèvres.
Message : Hime-chan
La chanson, c'était « Pour
un flirt avec toi » de Michel
Delpech. Chanson française
bien évidemment.
Ryo s'empressa d'aller sur Internet traduire les paroles de la chanson. Il arrivait à la fin de la traduction – abominable, même s'il avait réussi à comprendre l'idée générale – quand les portes s'ouvrirent sur le parking. Ne prenant même pas le temps de réfléchir, il appuya sur le bouton de l'étage qu'il venait de quitter, tapotant des doigts pendant que l'appareil remontait trop lentement pour lui.
Les portes s'ouvrirent sur Ueda, qui s'engouffra rapidement dans l'appareil, profitant de la surprise de Ryo pour coller leurs lèvres.
Les portes se refermèrent sans qu'ils ne s'en aperçoivent, perdus par la sensation des lèvres de l'autre. Lentement, Nishikido remonta ses mains vers les hanches de Ueda tandis que ce dernier laissait glisser les cheveux du Kanjani entre les siennes.
Ueda fit ensuite redescendre ses mains le long du torse de Ryo, détachant un à un les boutons de sa chemise. Il en profita ensuite pour caresser la peau douce qui s'offrait à lui, insistant particulièrement sur les tétons. Ryo gémit à cette attention, relevant sans le vouloir le t-shirt de Tatsuya, qui frissonna sous la caresse.
Très vite, leurs t-shirts finirent par terre, bientôt rejoints par leurs pantalons. Presque nus, ils s'étaient collés l'un à l'autre, enlacés. Le moindre mouvement augmentait leur excitation, et ils n'étaient plus que gémissements et ahanements.
Brusquement, Ryo se releva, manquant de faire tomber Ueda. Il se dirigea vers le panneau de l'ascenseur et appuya sur le bouton permettant de le bloquer. Tatsuya se glissa derrière lui, le félicitant d'y avoir penser en mordillant tendrement son lobe d'oreille. Les doigts de Ryo se tendirent alors qu'il gémissait d'un désir brut qu'il ne retenait plus. Ils se retrouvèrent de nouveau au sol, et enlevèrent rapidement, avec des gestes saccadés, leur boxeur.
Alors que Ueda commençait à humidifier ses doigts, Nishikido attrapa son sac et en sortit du lubrifiant. Il récolta une moue amusée assortie de sourcils fronçés.
- Je l'ai piqué à Tacchon.
L'explication parut satisfaire Tatsuya, qui laissa Ryo recouvrir ses doigts du gel. Doucement, il caressa le corps de Nishikido, qui frissonna sous le froid dégagé par le lubrifiant. Puis, lentement, Ueda fit pénétrer son index dans le fessier musclé de son amant. Un petit soupir de douleur cassa le silence de la pièce, bientôt suivi de bruissements de bien-être.
Satisfait, Tatsuya rajouta un autre doigt tout en embrassant le Kanjani. Celui-ci gémissait dans leur baiser, inconscient des actions de son partenaire, trop loin dans le plaisir pour le ressentir vraiment. Ueda fit quelques mouvements de ciseau, accentuant les ahanements de Ryo, avant d'introduire un troisième doigt. Nishikido grimaça sous la gêne, avant de hurler de plaisir quand le KAT-TUN prit sa hampe en bouche.
Notant que le Kanjani était suffisamment préparé, Tatusya l'allongea correctement sur le sol, se servant des t-shirts pour lui faire un oreiller. Il remonta les cuisses de Ryo, caressant légèrement sa peau brunie par le soleil. Les petits cris qu'il en tira le ravirent.
Croisant les jambes du jeune homme autour de sa taille, il souleva le bassin de Nishikido et le pénétra délicatement, s'enfonçant profondément. Il sentait Ryo se contracter autour de lui, et il reprit en main son sexe, faisant de doux va-et-vient dessus. Il observait le visage de son amant, attendant le moment où les grimaces de douleurs partiraient, ne laissant que des yeux noirs de désir et le sourire provoquant qui n'appartenait qu'à Nishikido.
Enfin, il sentit les muscles autour de son sexe se détendre, tandis que Ryo amorçait de lui-même des mouvements de bassin plus qu'explicites.
Ueda prit appui sur le sol pour accentuer son élan, entrant de plus en plus loin. Il ressortit et revint à la charge, tirant un cri de plaisir qui résonna agréablement à ses oreilles. Les mains de Ryo étaient accrochées à ses épaules, le griffant à chacun de ses passages.
Subitement, le corps du Kanjani se cambra sous lui, alors qu'un râle plus rauque sortait de sa bouche. Il avait réussi à trouver le paquet de nerfs qui procurerait le plus de plaisir au jeune homme.
Il réitéra le même mouvement, se perdant entre ses propres gémissements et ceux de Ryo. Le rythme s'accélérait de plus en plus, alors que leurs bouches se cherchaient. Ce fut le Kanjani qui se libéra le premier, murmurant le nom de son partenaire plusieurs fois, de sa voix rendue rauque par ses précédents cris. Sentant les chairs entourant son sexe se crisper une dernière fois, Tatsuya se libéra à son tour, invoquant le nom de Nishikido – qui frissonna sous l'usage de son nom de famille dans un moment si intime.
Alors, ils se serrèrent l'un contre l'autre, en sueur et encore frémissants de la jouissance qu'ils s'étaient procurée. Leurs respirations se calmèrent alors qu'ils se câlinaient tendrement, les yeux dans les yeux.
- Tu ne m'as pas chanté le dernier couplet de la chanson, fit soudain remarquer Ryo dans un chuchotement.
Les portes s'ouvrirent sur Ueda, qui s'engouffra rapidement dans l'appareil, profitant de la surprise de Ryo pour coller leurs lèvres.
Les portes se refermèrent sans qu'ils ne s'en aperçoivent, perdus par la sensation des lèvres de l'autre. Lentement, Nishikido remonta ses mains vers les hanches de Ueda tandis que ce dernier laissait glisser les cheveux du Kanjani entre les siennes.
Ueda fit ensuite redescendre ses mains le long du torse de Ryo, détachant un à un les boutons de sa chemise. Il en profita ensuite pour caresser la peau douce qui s'offrait à lui, insistant particulièrement sur les tétons. Ryo gémit à cette attention, relevant sans le vouloir le t-shirt de Tatsuya, qui frissonna sous la caresse.
Très vite, leurs t-shirts finirent par terre, bientôt rejoints par leurs pantalons. Presque nus, ils s'étaient collés l'un à l'autre, enlacés. Le moindre mouvement augmentait leur excitation, et ils n'étaient plus que gémissements et ahanements.
Brusquement, Ryo se releva, manquant de faire tomber Ueda. Il se dirigea vers le panneau de l'ascenseur et appuya sur le bouton permettant de le bloquer. Tatsuya se glissa derrière lui, le félicitant d'y avoir penser en mordillant tendrement son lobe d'oreille. Les doigts de Ryo se tendirent alors qu'il gémissait d'un désir brut qu'il ne retenait plus. Ils se retrouvèrent de nouveau au sol, et enlevèrent rapidement, avec des gestes saccadés, leur boxeur.
Alors que Ueda commençait à humidifier ses doigts, Nishikido attrapa son sac et en sortit du lubrifiant. Il récolta une moue amusée assortie de sourcils fronçés.
- Je l'ai piqué à Tacchon.
L'explication parut satisfaire Tatsuya, qui laissa Ryo recouvrir ses doigts du gel. Doucement, il caressa le corps de Nishikido, qui frissonna sous le froid dégagé par le lubrifiant. Puis, lentement, Ueda fit pénétrer son index dans le fessier musclé de son amant. Un petit soupir de douleur cassa le silence de la pièce, bientôt suivi de bruissements de bien-être.
Satisfait, Tatsuya rajouta un autre doigt tout en embrassant le Kanjani. Celui-ci gémissait dans leur baiser, inconscient des actions de son partenaire, trop loin dans le plaisir pour le ressentir vraiment. Ueda fit quelques mouvements de ciseau, accentuant les ahanements de Ryo, avant d'introduire un troisième doigt. Nishikido grimaça sous la gêne, avant de hurler de plaisir quand le KAT-TUN prit sa hampe en bouche.
Notant que le Kanjani était suffisamment préparé, Tatusya l'allongea correctement sur le sol, se servant des t-shirts pour lui faire un oreiller. Il remonta les cuisses de Ryo, caressant légèrement sa peau brunie par le soleil. Les petits cris qu'il en tira le ravirent.
Croisant les jambes du jeune homme autour de sa taille, il souleva le bassin de Nishikido et le pénétra délicatement, s'enfonçant profondément. Il sentait Ryo se contracter autour de lui, et il reprit en main son sexe, faisant de doux va-et-vient dessus. Il observait le visage de son amant, attendant le moment où les grimaces de douleurs partiraient, ne laissant que des yeux noirs de désir et le sourire provoquant qui n'appartenait qu'à Nishikido.
Enfin, il sentit les muscles autour de son sexe se détendre, tandis que Ryo amorçait de lui-même des mouvements de bassin plus qu'explicites.
Ueda prit appui sur le sol pour accentuer son élan, entrant de plus en plus loin. Il ressortit et revint à la charge, tirant un cri de plaisir qui résonna agréablement à ses oreilles. Les mains de Ryo étaient accrochées à ses épaules, le griffant à chacun de ses passages.
Subitement, le corps du Kanjani se cambra sous lui, alors qu'un râle plus rauque sortait de sa bouche. Il avait réussi à trouver le paquet de nerfs qui procurerait le plus de plaisir au jeune homme.
Il réitéra le même mouvement, se perdant entre ses propres gémissements et ceux de Ryo. Le rythme s'accélérait de plus en plus, alors que leurs bouches se cherchaient. Ce fut le Kanjani qui se libéra le premier, murmurant le nom de son partenaire plusieurs fois, de sa voix rendue rauque par ses précédents cris. Sentant les chairs entourant son sexe se crisper une dernière fois, Tatsuya se libéra à son tour, invoquant le nom de Nishikido – qui frissonna sous l'usage de son nom de famille dans un moment si intime.
Alors, ils se serrèrent l'un contre l'autre, en sueur et encore frémissants de la jouissance qu'ils s'étaient procurée. Leurs respirations se calmèrent alors qu'ils se câlinaient tendrement, les yeux dans les yeux.
- Tu ne m'as pas chanté le dernier couplet de la chanson, fit soudain remarquer Ryo dans un chuchotement.
Je ferai l'amoureux
Pour te câliner un peu
Pour un flirt, avec toi
Je ferai des folies
Pour arriver dans ton lit
Pour un flirt, avec toi
Ryo sourit doucement, se laissant aller sur l'épaule du boxeur. Avant que le Kanjani ne s'endorme, Ueda le réveilla et le poussa à se rhabiller. Ils prirent leurs affaires et redémarrèrent l'ascenseur, qui amorça une descente vers le parking.
Glissant sa main dans celle du KAT-TUN, Nishikido l'amena vers sa voiture, sur le capot de laquelle ils s'embrassèrent encore et encore, avant de finalement l'emmener chez lui.
Glissant sa main dans celle du KAT-TUN, Nishikido l'amena vers sa voiture, sur le capot de laquelle ils s'embrassèrent encore et encore, avant de finalement l'emmener chez lui.
latitmimidu59, Posté le dimanche 22 février 2015 17:00
super OS j'adore ^^ une fois qu'on a cette chanson en tête dur dur pour s'en défaire lol
c'est sur que si ueda la chantait quasiment tous les jours ryo ne pouvait qu'en devenir fou!!!
mais fou d'amour car c'est la personne qu'il aime qui la chantait c'est trop chou j'adore ^^